1492, date marquante s’il en est de notre Histoire : 530 années nous en séparent. C’est l’occasion de suggérer la lecture de l’hagiographie que lui a consacrée Léon Bloy. Hagiographie car c’est un appel à sa béatification future. Hagiographie préfacée par Jules Barbey d’Aurevilly, ce qui acheva s’asseoir la notoriété de Léon Bloy.
Le 15 avril 1982, Alain de Benoist et Gustave Thibon furent invités par l’Union Royaliste Provençale à discuter de la Tradition. Et en particulier à débattre sur l’opposition entre culture – ou société – chrétienne et la critique néopaïenne. L’écho de ce débat de fond, toujours actuel, demeure vivant quarante années après.
Tirant ses origines du voyage que fit Charles Maurras à Athènes à l’occasion des Jeux olympiques de 1896 pour le compte du journal La Gazette de France, l’ouvrage Anthinéa – sous-titré D’Athènes à Florence – est une déclaration d’amour au monde méditerranéen, plus précisément à sa partie septentrionale.
Le titre de ce volume publié en 1916 porte une ambiguïté, dans le sens où il peut être interprété doublement : il s’agit d’abord et avant tout d’identifier sa véritable signification. Il peut laisser croire que ce que le livre aborde est cette propension bien française – si ce n’est gauloise – à la division… à la guerre civile… Ce serait alors une référence à la Commune ou à l’Affaire Dreyfus, épisodes éclatants de guerre civile française.
2023 année du centenaire de la mort de Maurice Barrès : (re)découvrez son ouvrage Sous l’œil des barbares Nous poursuivons ici notre survol barrésien des dimanches de cette année 2023, avec, pour le mois de mars, l’annonce de la réédition de Sous l’œil des barbares. Le n° 19 de la revue anarchiste Les Hommes du jour, paru en mai 1908 et consacré à Maurice Barrès, présentait Sous l’œil des barbares comme « son premier volume sérieux ».
Alors que le Proche-Orient s’embrase, mettant l’opinion publique mondiale en émoi, les uns condamnant « le terrorisme islamiste », les autres dénonçant « l’État terroriste sioniste », Belle-de-Mai Éditions vous propose la lecture d’un bien beau roman de Marie Nelet née Guérin, de son nom de plume Myriam Thélen, racontant un « choc de civilisations », différent néanmoins de celui que nos vivons actuellement.
Producteur, journaliste et écrivain, François Angelier vient de lui consacrer un essai aux éditions Seuil, dont le titre est : « Georges Bernanos, la colère et la grâce ».
À l’été 2020, il n’y avait pas que le Tenet de Christopher Nolan à voir au cinéma. Il y avait aussi Malmkrog, du réalisateur roumain Cristi Puiu. Ce dernier proposait avec ce film exigeant une adaptation réussie du livre Trois entretiens sur la guerre, la morale et la religion du philosophe russe Vladimir Soloviev. Dans cet ouvrage, récemment réédité pat les éditions B2M, le philosophe se pose une question qui l’a hanté toute sa vie : qui est l’Antéchrist ?
Nous poursuivons ici – exceptionnellement ce lundi – notre survol barrésien des dimanches de cette année 2023, avec, pour le mois d’août, l’annonce de la réédition du troisième tome de la trilogie « Le roman de l’Énergie nationale », Leurs figures.
Nous poursuivons ici notre survol barrésien des dimanches de cette année 2023, avec, pour le mois de juillet, l’annonce de la réédition du deuxième tome trilogie « Le roman de l’Énergie nationale », L’appel au soldat.
Les Dialogues des Carmélites ont été écrits par Georges Bernanos en Tunisie dans le courant de l’hiver 1947-1948. Ils étaient destinés à un film dont le scénario avait été composé par le R. P. Raymond Bruckberger d’après la célèbre nouvelle de Gertrud von Le Fort : La Dernière à l’Échafaud.
C’est en 1915 que la maison d’édition Librairie ancienne Édouard Champion publie L’Étang de Berre de Charles Maurras, alors que la Première Guerre mondiale fait rage. Ce dernier, empêché par sa surdité d’aller au front avec ses compatriotes, entend participer à sa manière à l’effort général de guerre : en produisant des volumes qui visent à maintenir le moral des troupes, comme L’Étang de Berre ou Quand les Français ne s’aimaient pas.